Dopage et médecine...
Contrairement à une idée largement répandue, le dopage ne touche pas que le milieu sportif. On le rencontre (parfois) chez les stars du Show-bizz où la ligne de coke est le meilleur des anxiolytiques et les béta-bloquants le meilleur des traitements contre la voix chevrottante (Julien Clerc et Véronique Sanson sont donc passés à la trappe). On en trouve des traces aussi dans l'univers des étudiants, ceux en médecine n'échappant pas à la règle !
Voilà ce que l'on peut trouver dans ma boîte à pharmacie :
- antalgiques de niveau I avec paracétamol et acide acétyl salycilique
- antalgiques de niveau II avec Diantalvic, Efferalgan codéiné, Xiprim, Propofan (idem que le Diantalvic mais avec de la caféine pour ne pas avoir l'effet sédatif du dextropropoxyphène), Topalgic...
- co-antalgiques avec AINS et corticoïdes (très efficace pour les simples rhinites, à éviter le soir pour ne pas dcompenser de troubles de l'humeur)
- des excitants comme le Gurozan mais ca ne marche pas malheureusement !
- des vitamines
- des anxiolytiques de courte durée d'action (Xanax, Atarax), des hypnotiques (Stilnox) dont l'effet dans le temps s'amoindrit... Merci aux psychiatres de m'expliquer le phénomène !
- du Mopral, du Primperan, du Motilium, du Spasfon, du Débridat, de l'Imodium, du Smecta... contre les petits tracas quotidiens du transit
- et des pommades, compresses, pansements au retour des entraînements !